2021
> À la galerie
L’œil du Cœur
vente exceptionnelle de la collection Françoise Besson – volet 2
27 février 2021 > 10 avril 2021
Deux ans après l’œil et le cœur, vente exceptionnelle de la collection Françoise Besson, nous sommes heureuses de vous proposer ce deuxième volet, l’œil du Cœur qui se tiendra à la galerie du samedi 27 février au samedi 17 avril 2021.
Tout autant personnelle, cette exposition dévoilera des pièces peut être même plus intimes et plus confidentielles que la première fois. En 2019, Tania Hautin écrivait pour nous : « Dévoiler une collection à un public, c’est ainsi dévoiler une part de soi même ». C’est encore plus vrai aujourd’hui.
Les dominantes demeurent : la peinture contemporaine, l’intérêt pour l’architecture, les œuvres sur papier.
Nous aurons plaisir à découvrir des figures majeures de l’art contemporain autant que des artistes confirmés ou en devenir. Œuvres et artistes pour lesquels Françoise Besson a eu un véritable coup de cœur tout au long de son parcours de bientôt vingt ans, et avec lesquels elle a parfois fait un bout de chemin.
S’ajoutent, ici et là, des rencontres de salon, des découvertes inattendues, et des artistes fraichement arrivés dans cette collection éclectique et sensible. Toujours dans cette « permanence d’une esthétique minimale et construite » à l’image de l’architecture de la maison-galerie conçue par Gilles Perraudin » (…/…)
Venez partager l’œil du Cœur de Françoise Besson à la galerie à partir du 27 février 2021 !
> À la petite galerie
Rencontre photographique
05 février 2021 > 06 mars 2021
Ancrer l’art et la culture sur notre territoire, c’est tisser des liens avec le public et créer une communauté engagée, solidaire, passionnée… Un combat mené depuis plus de 17 ans par la galerie ! Toujours dans un souci de partage et de transmission, « Rencontre photographique » est une manière de défendre et promouvoir la collaboration entre les acteurs culturels du territoire et les artistes locaux, pour une région humaine… À travers 50 ans de photographie.
Une exposition en résonance avec la sortie du livre 50 ans de photographie française : de 1970 à nos jours de Michel Poivert & l’exposition anniversaire des 20 ans du Bleu du Ciel « la région humaine, le ciel est bleu ».
> À la galerie
Charlotte Denamur & Lise Roussel
Était l’été
5 décembre 2020 > 14 février 2021
Françoise Besson est heureuse d’offrir les murs (et le sol !) de sa galerie à un duo de peintres : Lise Roussel, représentée par la galerie depuis le début de l’année, invite Charlotte Denamur. Toutes deux pensionnaires de la résidence d’artistes Moly-Sabata à Sablons (respectivement en 2019 et 2017-2018), elles ont à cette occasion rencontré le commissaire d’exposition Joël Riff qui pour cette exposition a composé le texte du dossier de presse, belle introduction à Était l’été.
> À la petite galerie
Hervé Burret
Aquarelles
7 janvier > 31 janvier 2021
À travers ses promenades quotidiennes en forêt, Hervé Burret recherche la sérénité, comme une méditation pour retrouver le silence, la paix intérieure; se retrouver avec lui-même. Très inspiré par Jean-Jacques Rousseau et Les Rêveries du promeneur solitaire, c’est naturellement qu’il s’est laissé envahir par les bois, choisissant de commencer une série (toujours en cours) d’aquarelles avec les paysages qui l’entourent. Sa préoccupation est principalement picturale, il utilise des encres qui progressivement se diffusent et le guide vers l’aboutissement de l’œuvre. De Rousseau, il en retire cet attrait pour la lumière et utilise la technique du clair obscure, où il part de la noirceur pour aller vers la clarté. Une série qui nous transporte dans un monde mystérieux, presque féerique.
2020
> À la galerie
Alain Pouillet
Hé, dites moi,…C’est loin là-bas ?
17 septembre-07 novembre 2020
Françoise Besson est heureuse d’offrir les murs de sa galerie pour la première fois à l’artiste lyonnais Alain Pouillet pour une exposition qui se tiendra du 18 septembre au 04 novembre dans la grande et la petite galerie. Seront montrées des œuvres inédites issues de 4 séries sur lesquelles travaille l’artiste depuis deux ans.
Alain Pouillet fait partie de ces artistes qui ont de la magie dans le cœur et qui la matérialise sur la surface de la toile.
Il raconte des histoires à son spectateur aux frontières entre le réel et l’imaginaire, entre le visible et l’invisible. Le style est singulier et sous des apparences ludiques évidentes, les niveaux de significations sont aussi multiples et complexes.
Autodidacte, il peint et dessine depuis l’enfance. En effet, il réalise pour son instituteur des cartes imagées à la gouache blanche. Cette technique est chère à l’artiste puisqu’on la retrouve jusque dans sa dernière série de plus de quatre-vingt petites peintures – qui ne sont d’ailleurs pas sans rappeler des cartes postales – dans laquelle chaque dessin est rehaussé à la gouache blanche afin de mieux souligner la dimension lumineuse de ses personnages.
Extrait de Quand « Tout fout le camp », « Rien ne va plus » !
Par Bénédicte Maselli, docteur en histoire de l’art contemporain
A la petite galerie
Intériorité
José Luis Lopez Lara
Sabine Orlandini
Pour son retour sur la scène artistique lyonnaise, José Luis Lopez Lara a choisi de présenter une série d’aquarelle intitulée Intériorité . Il se dégage de cette série, commencée peu avant le confinement, un profond sentiment de calme et d’apaisement, plus que nécessaire en ces temps tourmentés. « De modestes chutes de bois ou d’objets hétéroclites récoltés, ici et là, forment le vocabulaire principal des scénographies. Combinés de multiples façon, les objets sont traités avec réalisme et forment des compositions improbables échappant à toute interprétation narrative. Avec ces peintures et aquarelles, il est plutôt question de sensations. En effet, dans ces espaces apaisés par la lumière, le temps semble suspendu et nous invite au silence. Paradoxalement, il se dégage de ces ensembles dépouillés un sentiment de vitalité et de sérénité ».
Sabine Orlandini nous présente parallèlement un éventail de céramiques aux couleurs de la petite galerie »Mon travail s’appuie sur une recherche de formes épurées où l’expression graphique est omniprésente. La fonctionnalité de mes objets n’est pas immédiate ni définitive. J’aime que mes objets soient utilisés pour une fonction à laquelle je n’avais pas pensé. Mes pièces sont montées à la plaque. J’utilise une terre de faïence blanche lisse ou chamottée, selon les effets et textures recherchés. Je les engobe, les marque aux crayons oxydes et les émaille.
À la galerie
Chantal Fontvieille
… à travers…
06 juin>31 juillet 2020
Françoise Besson est heureuse d’inviter Chantal Fontvieille pour sa quatrième exposition personnelle à la galerie
Vous y découvrirez une nouvelle série de cibles notamment de cibles de tir à l’arc, ainsi qu’un ensemble de sculptures : les bois cibles.
…à travers… : je mets au contact : la flèche à travers la cible, l’eau à travers l’impact, la lumière à travers la trouée.
Le tir est traversée mais aussi processus actif où se jouent les accidents du hasard, les effets de la durée des bains. Dans ce dernier travail, les cibles de tir à l’arc m’offrent par leurs cercles bleus, rouges et jaunes leurs couleurs criardes. Ensuite toute la place est donnée à l’élément premier et invisible de cette série : l’eau. Les COULÉES traversent le matériau. L’EAU distribue rouille et encre de Chine à travers les impacts du tir, au recto et au verso. Toutes ces matières liquides naturelles s’accordent au carton, le dévorent jusqu’à le réduire en lambeaux…
Ma série …à travers… raconte une histoire naturelle, imprévisible, qui me fascine (…)
À la galerie
Le souffle
collective des artistes de la galerie
30 janvier 2020 > 28 mars 2020
Pour démarrer l’année 2020, les artistes de la galerie sont invités à travailler sur le Souffle.
Souffle de vie, souffle créateur, souffle du génie voire souffle divin.
Avoir du souffle, en manquer. Vivre à plein souffle, mais pas à bout de souffle…
Autant suspendre son souffle, pour ne pas le perdre complètement.
Parler dans un souffle, le souffle court, à court de souffle ?
Ne tenir qu’à un souffle, retarder le dernier souffle…
Alors, reprendre son souffle, se laisser toucher à nouveau par le souffle du génie
Atteindre un deuxième souffle, pourquoi pas un troisième !
Se méfier du souffle de l’adversité, se protéger du souffle du froid, furieux, glacial ou encore du souffle de l’explosion.
Préférer le souffle d’amour, le souffle léger, parfumé des champs… souffle d’inspiration
Autant de déclinaisons possibles que de réponses des artistes.
Ce souffle créateur animera la galerie à partir du 30 janvier 2020, à 18h30 en présence des artistes : A vous couper le souffle !!!
A la petite galerie
Nouvelles floraisons
Théo Massoulier
Rémy Jacquier
Alain Pillard
Lise Roussel
30 janvier >31 mars 2020
1ère exposition à la petite galerie
Les 4 artistes investissent les murs de la petite galerie sur le thème du bâti et de sa représentation en estampes, dessins, volume et petites séries.
Le cabinet est confié à Alain Pillard qui y proposera une installation « totale « avec dessins, céramiques et la table onirique d‘un repas baroque.
> Hors les murs – Espace la Brava
Croisement
Awena Cozannet
Daniel Clarke
Christine Crozat
25 janvier > 14 mars 2020
La Galerie Françoise Besson expose à l’Espace de la Brava à Thônes.
Démarrer l’année dans le croisement de trois mondes, trois démarches, trois univers, Christine Crozat, Daniel Clarke et Awena Cozannet.
Le point commun : C’est la quête de l’homme, le lien au vivant…
C’est l’envie de déplacer les trois expositions présentées cet automne en résonance avec la
Biennale de Lyon. Le désir de les rassembler pour les offrir à la Vallée des Aravis.
L’art contemporain s’invite là où on ne l’attend pas.
> A la petite galerie
Inauguration
Awena Cozannet
Christelle Cantereau
Blast Studio
Karine Lemery
Alain Pillard
Sabine Orlandini
30 janvier >31 mars 2020
L’accueil réservé, grâce à une médiation personnalisée, donne l’occasion de mieux connaitre les démarches et techniques des artistes exposés.
> À la galerie
Awena Cozannet
On marche sur la tête
28 novembre 2019 > 18 janvier 2020
Françoise Besson est heureuse d’inviter Awena Cozannet pour sa quatrième exposition personnelle à la galerie, On marche sur la tête. Sculptures, photographies, dessins se partageront les cimaises de la galerie du 28 novembre au 18 janvier 2020 en résonance avec la 15 ème biennale d’art contemporain de Lyon 2019 « là où les eaux se mêlent », et en partenariat avec le Musée-château d’Annecy où l’artiste est en résidence du 16 septembre au 13 décembre 2019
À l’Étage
Ana Zulma
Vie de Porcelaine
28 novembre 2019 > 18 janvier 2020
NOUVEAU MONDE
Explorer au-dessus,
Je perce des papiers imprimés,
Aller-retour
Epreuve de l’infiniment grand,
Expérience de l’infiniment petit,
Une perception devient espace, l’eau dort.
Désir ultime de la possible rencontre,
En deuil de ma capacité,
Je m’évertue,
À relever les clichés de l’objet « petit a ».
Muable, je le regarde agir.
Sans emprise, il m’échappe.
2019
> A la galerie
Christine Crozat
Entre les mondes
16 octobre > 23 novembre 2019
Qu’est-ce que le papier calque, sinon un lieu de passage d’un dessin à un autre, un espace de transmission, qui raconte une petite partie de l’histoire, encore incomplète et fragmentaire ? Le papier calque est le lieu où se mêlent les mondes, celui de l’esquisse et de l’achevé, de l’oscillant et du fixe, du jour et de la nuit : Entre les mondes. Cet interstice se manifeste dans la méthode même: dessiner les contours, ne retenir que la forme essentielle et épurée. S’attacher au magnétisme du détail. Christine Crozat, en passionnée d’histoire des arts, retient, repère, puis explore. Une fleur d’un Godard pour un Portrait rouge, une mule de La mort de Sardanapale pour Queen’s bee shoe. Le détail est extrait, ciselé hors de son ensemble de référence pour lui donner une nouvelle place, un nouveau sens. Le détail comme transmission d’un monde à un autre. Vient ensuite la série des «Gris de Payne » : la presqu’île de Shimokita inspire Christine Crozat. Le végétal et l’aquatique se mêlent, les hautes herbes et les fleurs se superposent aux nuages. Des flèches ancrent parfois les formes éthérées au sol, comme pour prévenir leur envol en dehors du cadre, arrondies et trop légères (…/…)
Xavier Petit, doctorant en philosophie
À l’Étage
Blast Studio
lovely trash
10 octobre > 20 octobre 2019
Événement Pop’up
S’inspirant des écosystèmes naturels, le projet Lovely Trash vise à transformer les déchets de la ville en design durable. La start-up londonienne Blast Studio a développé un cycle court où ils collectent les déchets de gobelets à café directement dans les cafés de Londres et les transforment grâce aux champignons en meubles. Ils utilisent la capacité naturelle des racines de champignons – appelées mycélium – pour digérer la matière organique et la font recycler les déchets des gobelets à café. En dégradant les déchets, le mycélium les transforme en un matériau biologique et vivant qu’ils utilisent pour fabriquer des objets durables inspirés des formes de la nature.
> À la galerie
Daniel Clarke
Loaded
5 septembre > 12 octobre 2019
My work of the last three years situates itself in a landscape that seeks to confront my unconscious with that of contemporary political et sociological parameters. The work’s ambition is to confront my own history with that with which surrounds me and nourishes me. I aspire, through the paint to construct a Jungian language that aims to give a voice to the fabric of my experience. The use of stencils is essentially to tap into forms as if they were architectural ruins or sculptural fragments alluding to a place. I see the work as that of a cartographer, mapping, listing but with the freedom of my hand to distort, oppose and articulate the landscape, not in a photographic way but with a spiritual, instinctive and cosmological ambition.
Daniel Clarke, mars 2011
> À la galerie
Jacques Migayrou
La grande Bellezza
13 juin > 30 juillet 2019
Françoise Besson est heureuse d’inviter Jacques Migayrou du 13 juin au 31 juillet 2019 pour sa troisième exposition personnelle à la galerie : LA GRANDE BELLEZZA, en référence au film de Paolo Sorrentino de 2014.
> A la galerie
Chacun son trait, Ces jours bleus
Awena Cozannet, Christine Crozat, Marie-Anita Gaube,
Gwen Hautin, Sophie Matter, Armelle de Sainte-Marie
11 avril > 8 juin 2019
La galerie Françoise Besson est heureuse de présenter Chacun son trait – Ces jours bleus (sur une proposition originale de Sophie Matter), une exposition réunissant les travaux de six artistes femmes. Autant d’identités artistiques ayant en commun la permanence et la persistance du trait dans leurs œuvres respectives. Le dessin est aujourd’hui l’expression plastique empreinte de la plus incroyable vitalité. En redéfinition permanente, se nourrissant volontiers des autres médiums, il déjoue sans cesse les limites du territoire dans lequel il est traditionnellement circonscrit. Cette exposition a ainsi l’ambition de montrer, grâce aux œuvres, tout à la fois la richesse infinie du champ d’application du dessin contemporain et sa grande diversité d’expression plastique.
> À la galerie & À l’Étage
L’oeil & le coeur : vente exceptionnelle de la collection Françoise Besson
14 février > 30 mars 2019
Pour démarrer 2019 et pour célébrer ses quinze années d’existence, la galerie est heureuse d’ouvrir L’œil & le cœur : vente exceptionnelle de la collection Françoise Besson, une exposition toute personnelle dévoilant pour la première fois au public une partie de la collection de sa fondatrice…
Avec les œuvres de :
Romain BERNINI, Joseph BEUYS, Stéphane BORDARIER, Emmanuelle CASTELLAN, Marion CHARLET, Marie-Agnès CHARPIN, Dominique DE BEIR, Roseline DELACOUR, Marc DESGRANDCHAMPS, Jim DINE, Gaëlle FORAY, Patrice GIORDA, Cristine GUINAMAND, Karine HOFFMAN, Rémy JACQUIER, Christine MAIGNE, Agathe MAY, Marlène MOCQUET…
> À la galerie
Marine Joatton
Échappée des songes
30 novembre 2018 > 31 janvier 2019
Françoise Besson invite Marine Joatton à investir les murs de la galerie pour une première exposition personnelle du 30 novembre au 31 janvier 2019. Dans cette exposition, on retrouve tout l’univers de celle de 2016 présentée au Musée de Saint Etienne « un air de famille » (commissaire Martine Dancer, texte de Lóránd Hegy) transposée en peinture. Un univers de contes, une imagination débridée qui laisse une large part aux contes de notre enfance, ceux d’Andersen ou de Grimm réappropriés par l’artiste qui nous fait découvrir son univers… En marge de l’exposition, paraît le 29ème numéro de Crimée, A l’insaisissable sa part, écrit par Jérémy Liron…
2018
> A la galerie
Daniel Clarke
Glossary of Terms : Multiples
8 novembre > 27 novembre 2018
L’exposition Glossary of Terms : Multiples rassemble les dix-neuf dernières estampes réalisées en 2018 par l’artiste franco-américain Daniel Clarke. L’artiste signe également la première édition limitée de deux foulards de soie en collaboration avec les ateliers de Benoît Coulpier à la Croix-Rousse. La galerie met ainsi à l’honneur le travail de la main et celui de l’artisanat, promouvant l’excellence de la soierie lyonnaise revisitée par un artiste contemporain…
Prix sur demande / possibilité d’envoi
> hors les murs
Les nouveaux sauvages
Halles du faubourg
5 oct >11 nov 2018
Aux Halles du foubourg, projet éphémère artistique, culturel et urbain porté par la Taverne Gutemberg, accompagné par Ateliers La Mouche, Intermède, et l’Ecole urbaine de Lyon.
Commissaires associés Frigo&Co, Galerie Françoise Besson, Le Bleu de Ciel, Festival Superposition & Taverne Gutenberg
Une exposition d’art contemporain grandiose, des spectacles, des performances, initiations artistiques et la découverte d’un patrimoine industriel.
> A la galerie et upstairs
Les Racines du ciel
Valérie Jouve, Laurent Mulot, Gilles Verneret
14 septembre > 2 novembre 2018
Dans le cadre du festival 9PH, Lyon, septembre de la photographie 2018 sur le thème de « Frontières » la galerie Françoise Besson accueille trois éminents représentants de l’image, réunis autour de la thématique proche de l’arbre chère à Françoise Besson et plus précisément par Les racines du ciel, en référence au roman de Romain Gary.
Valérie Jouve présente un travail recentré sur la femme où la nature, les arbres sont omniprésents.
Pour cette exposition, Laurent Mulot dévoile les éléments d’un travail en cours achevé en 2019 dans sa forme complète : Aganta Kairos.
Gilles Verneret a réalisé un reportage exclusif et intemporel sur les traces de Jésus le Palestinien, assassiné en 36 à Jérusalem…
Les images de cette exposition sont toutes disponibles
À l’Étage
Laurent Mulot
Aganta Kairos et les 6 océans
14 sept >02 nov 2018
Aganta Kairos est une œuvre au long cours inspirée par les expériences de détection des particules fantômes appelées Neutrinos. Des instruments géants sont plongés dans les abysses pour traquer ces messagers cosmiques qui traversent la planète par milliards à chaque seconde. Seuls quelques spécimens laissent une trace dans les détecteurs.
Entrée à Madagascar au bord de l’océan indien, il ne lui faut qu’une fraction de seconde pour atteindre le fond de la mer Méditerranée ou le fond du lac Baïkal.
Aganta Kairos tisse des liens entre 6 points de notre terre avec les témoins de l’invisible qui regardent la mer, le ciel et les étoiles au bord des 6 océans, Baïkal compris.
clic sur image
> A la galerie
Ana Zulma
L’étrange évidence : sur la vie et l’oeuvre de Jackie Kayser
7 juin > 12 août 2018
Sur Jackie Kayser, sa vie, son œuvre, sur les traces de l’homme.
Il y a un an, quand Ana Zulma rencontre Françoise Besson à Lyon dans sa galerie perchée sur les hauteurs de La Croix-Rousse, une troisième personne s’immisce dans leur échange : Jackie Kayser, disparu en 2004.
Faire d’une coïncidence une inévitable évidence devient alors une nécessité. À cette croisée des chemins, l’idée d’une cohabitation artistique entre l’ancienne élève et son enseignant s’impose…
> A l’étage
Awena Cozannet
Traversée
6 avril > 2 juin 2018
La galerie accueille à l’étage l’exposition Traversée d’Awena Cozannet rassemblant un ensemble de photographies, sculptures et dessins issus de la série Flottaison. Quand des hommes traversent la mer pour passer d’un continent à un autre, de leur pays à un autre pays. De cette réalité d’images et de vies en mouvement, en partance dont nous sommes submergés. De réalités de Méditerranée et du monde entier.
Quand un évènement contraint le déplacement. Quand ce déplacement génère des déplacements, de responsabilités, de statuts, d’états. Qu’est ce qui nous sépare ? Evoquer la ligne entre deux mondes…
> A la galerie
C’est bien sûr l’horizon mais ce sont surtout les cloisons
Sébastien Faure, Rémy Jacquier, Frédéric Khodja
Jérémy Liron, Mengzhi Zheng
6 avril > 2 juin 2018
Les cinq artistes associés par l’incise C’est bien sûr l’horizon mais ce sont surtout les cloisons, répondent par différents médiums et réalisent une exposition (ne sont-ils pas cinq comme le fameux club ou les doigts nécessaires à l’ouvrage ?) :
Sébastien Faure + Rémy Jacquier + Frédéric Khodja + Jérémy Liron + Mengzhi Zheng
Réunir des opérateurs de gestes afin qu’ils construisent pour un espace, la galerie Françoise Besson, un langage qui s’ouvrirait comme une main par une question,
un peut être : Habiter en poète ?
> A la galerie
À dess(e)in, à deux voix
exposition avec les Editions du Chemin de Fer
Ronan Barrot, Christine Crozat, Philippe Favier, Marine Joatton, Frédéric Khodja, Florence Reymond, Sylvie Sauvageon
01 mars > 31 mars 2018
En collaboration avec les Editions du Chemin de Fer, la galerie Françoise Besson propose une exposition réunissant des artistes ayant exposé à la galerie et participé à un ouvrage aux Editions du Chemin de Fer. Ce salon du dessin qui se tiendra du 1er mars au 1er avril 2018 montrera les dessins originaux qui ont servi à illustrer l’ouvrage et un choix plus vaste d’œuvres sur papier de chaque artiste.
Comme toujours, la clé de voûte de cette exposition se retrouve être ce lien, ce tissage né des rencontres qui se muent en amitiés : fidélité, souci de transversalité, de croisement, d’échange, de diversité.
>A la galerie
Clément Montolio
Basculement
15 décembre 2017 > 24 février 2018
Basculements est le titre de la sixième exposition personnelle de Clément Montolio à la galerie Françoise BESSON du 15 décembre 2017 au 24 février 2018, en résonance avec la 14ème biennale d’art contemporain « Mondes Flottants ».
» A l’origine, les montagnes avaient de grandes ailes. Elles volaient dans le ciel et s’arrêtaient sur la terre, suivant leur plaisir. Alors la terre tremblait et vacillait. Indra coupa les ailes des montagnes. Il fixa les montagnes sur la terre pour la rendre stable. Les ailes devinrent des nuages. Depuis lors, les nuages s’amassent autour des cimes. »
(La ruine de KASCH de Roberto CALASSO)
En présence du mystère de la nature, l’homme prédisposé redécouvre le sentiment du sacré et peut ainsi s’y relier dans » un basculement », une interrogation du monde qui la contient tout en la dépassant ; une sorte de rite de passage, de renaissance et de renouvellement.
> A l’étage
Christelle Cantereau
Point de rencontre
15 décembre 2017 > 24 février 2018
Christelle Cantereau, pour la première fois à l’étage de la galerie Françoise Besson du 15 décembre au 24 février est invitée à présenter deux facettes de son travail :
Les deux premières séries présentées, s’intitulant « J’étais une princesse », abordent des thèmes récurrents dans mon travail : il y est question d’identité, de mémoire, du souvenir et de la réminiscence, mais également de l’image mentale et de son double imprimé : l’image
« spéculaire » telle que définie par Lacan.
Mais, au-delà de ces questionnements, la motivation de ce travail est la mise en jeu de l’intime et son basculement dans l’universalité. La recomposition du souvenir, par touches successives,renverse ce qui ressemble à un autoportrait pour finalement lui donner une valeur universelle.
2017
A la galerie
Marie Anita Gaube
Meeting Point
20 octobre > 9 décembre 2017
Après Nouvelles aires, en 2015, Marie Anita Gaube est pour la deuxième fois à l’affiche du 10 rue
de Crimée pour une exposition personnelle. Meeting point se tiendra à la galerie du 20 octobre
au 9 décembre 2017, en résonance avec la 14 ème biennale dʼart contemporain de Lyon.
A la lumière de cette exposition, qui réunira un choix de peintures et de dessins, on remarquera la
maturité acquise par l’artiste d’expo en expo comme en témoignent les questionnements qui
guident sa recherche picturale :
« Moi : C’est ici, vous y êtes !
Lui : bon ! Est-ce bien ce lieu idyllique dont on m’avait parlé ?
Moi : Si tu crois ce qu’on te dit, tu te trompes…
Lui : »
« Celui qui sait ne peut aller au-delà d’un horizon connu »
Georges Bataille, l’expérience mystique
Hors les murs > [art]room Thônes
Frédéric Khodja
Oui certainement, Oui absolument, Maintenant absolument
21 0ctobre > 02 décembre 2017
2ème volet de l’exposition Oui certainement, oui absolument, maintenant absolument
Hors les murs > [art]room Thônes
> À la galerie
Des pouvoirs des écrans
Laurent Mulot, Bruno Metra, Marta Nijhuis, Thaïva Ouaki
09 septembre > 15 octobre 2017
Françoise Besson accueille le professeur Mauro Carbone comme commissaire de l’exposition DES POUVOIRS DES ECRANS, qui réunira les artistes Bruno Metra,
Laurent Mulot, Marta Nijhuis, et Thaïva Ouaki.
Cette exposition, qui aura lieu du 14 septembre au 15 octobre 2017 constitue un des quatre volets d’un projet transdisciplinaire que Mauro Carbone, philosophe,
spécialiste d’esthétique contemporaine à l’Université de Lyon, membre senior de l’Institut Universitaire de France, auteur de l’ouvrage Philosophie-écrans (Paris, Vrin, 2016), dirigera dans le cadre du Focus Résonance de la 14e Biennale d’Art Contemporain de Lyon.
> A l’Étage
Thaïva Ouaki
Supervision
09 septembre > 15 octobre 2017
Thaïva Ouaki décline dans l’exposition Supervision le thème de la surveillance et plus généralement du regard social. Par le biais du dessin, de la photographie et du volume, différents dispositifs de surveillance sont réinvestis. Les vues à facettes des caméras montrent sans aucun angle mort des espaces vides : un jeu de résistance s’installe entre observateurs et observés.
Hors les murs > [art]room Thônes
Le vent souffle où il veut
07 juillet > 05 août 2017
2 ème volet de l’exposition Le vent souffle où il veut réunissant 7 artistes femmes :
Marion Charlet
Claire Chauvel
Marion Davout
Marie-Anita Gaube
Marine Joatton
Florence Reymond
Lise Roussel
Sous le commissariat de Clément Montolio
> A la galerie
Frédéric Khodja
Oui certainement, oui absolument, maintenant absolument
1er juin > 31 juillet 2017
Le patrimoine de gestes qui fait dessiner ce qui disparaît
les restes de paysages
dans l’espace de petits volumes de bois peints
des tracés de couleurs en mémoire
des oublis et des manques
sous forme de réserves dans les dessins
fantômes d’architectures arpentés dans le rêve
agencés en épisodes
comme propositions de réponses
>À la galerie
Le vent souffle où il veut
Marion Charlet, Claire Chauvel, Marion Davout, Marie-Anita Gaube, Marine Joatton, Florence Reymond et Lise Roussel
13 avril > 25 mai 2017
La Galerie Françoise Besson invite sept artistes à investir ses murs dans le cadre d’une exposition qui dépasse l’événement manifeste de même que l’image instantanée d’une production artistique marquée par un courant. Aucune innocence, cependant, dans la sélection des artistes qui ont accepté cette invitation ; sept affirmations de visions de peintres: Marion Charlet, Claire Chauvel, Marion DAvout, Marie-Anita Gaube, Marine Joatton, Florence Reymond et Lise Roussel.
>A la galerie
Structure(s)du silence : hommage à Aurélie Nemours
Aurélie Nemours,
Jean Charasse, Christine Crozat, Chantal Fontvieille, Gilles Perraudin
08 mars > 11 avril 2017
Structure(s) du silence,
Hommage à Aurélie Nemours, qui réunit Jean Charasse, Gilles Perraudin, Chantal Fontvieille et Christine Crozat autour de l’oeuvre d’Aurélie Nemours. Le titre de cette exposition, qui renvoie à une série éponyme d’Aurélie Nemours datant des années 80 (1983-90), fait écho aux œuvres de l’artiste présentes au sein de l’exposition, plus d’une dizaine de gouaches datant du début des années 80.
> A la galerie
Daniel Clarke
Black and White and things
03 décembre 2016 > 18 février 2017
Après l’exposition Matter Daniel Clarke et son exposition Black and white and things nous confrontent à la
profondeur des sentiments et à la force qu’il faut pour les déchiffrer et les rapporter du côté du
vivant. Du vivant, debout et toujours en marche…
2016
> A la galerie
Clément Montolio
Vers les forêts
15 septembre > 18 novembre 2016
Vers les forêts.
En Europe, comme sur d’autres continents, les forêts ont précédé les civilisations.
Outre les bienfaits matériels qu’elles ont fournis aux hommes, elles ont nourri leur imaginaire au fil
des siècles, imprégnant de poésie , de mystères et de symboles une part non négligeable de la
littérature et des arts.
Aller vers les forêts, c’est se projeter dans la part obscure du monde où l’on court peut-être le risque
de se perdre mais où il est possible d’errer dans des chemins pleins d’échos enchantés,intimes et
intacts.
C’est courir au-devant d’un sanctuaire aux multiples portes, où les paroles des grands ancêtres
résonnent encore et offrent à ceux qu’elles approchent comme un abri indispensable.
C’est métamorphoser un exil intérieur, auquel Pouchkine fait allusion dans sonEugène Onéguine *
( vers les forêts et vers les glaces ) en un voyage initiatique où les mystères de la vie s’entrouvrent à
peine pour retourner vers le fond de l’inconnu.
Clément Montolio
> A la galerie
Gilles Verneret
Le voyage de Portugal
15 septembre > 18 novembre 2016
Le voyage de Portugal se tiendra à la galerie Françoise Besson du 15 septembre au 18 novembre
2016, en résonnance à Lyon Septembre de la photographie 2016.
A cette occasion la galerie édite le cahier de Crimée n°27 préfacé par Christiane Vollaire dont voici
un extrait :
L’industrie du tourisme, ouvrant des routes physiques à la déambulation, ouvre aussi des routes
symboliques à l’imaginaire. Ces routes physiques, rendues sûres et confortables, sont les mêmes que
des figures héroïsées empruntaient des siècles auparavant au milieu des périls. Mais l’imaginaire y
travaille tout autrement, y ouvrant d’autres routes symboliques. L’image laisse trace de ce travail de
reconstruction de l’imaginaire. De nouveaux segments du réel s’y exposent à l’interprétation. Des
prélèvements tranchés dans le vif, qui vont à leur tour ouvrir d’autres pistes à l’imagination. Le travail
photographique de Gilles Verneret, sensible et ouvert à l’interprétation, en témoigne ici…(…) une image
comme celle de ce mur dédié à Lisbonne, devant lequel s’assemblent ou se dispersent des silhouettes
originaires du continent africain, vient faire rappel et contrepoint à la beauté des étendues marines :
c’est dans cet horizon souvent impensé de la traite qu’il faut penser encore l’épopée contemporaine des
migrations et les violences auxquelles s’affrontent ceux qui résistent à la déroute (…)
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A bords perdus
David Décamp, Lise Roussel, Mathieu Le Breton, Vincent Brunet
02 juin > 31 juillet 2016
Pour l’imprimeur, produire une image à bords perdus, c’est s’efforcer de rester dans le cadre
tout en s’interrogeant sur la marge. En conscience, c’est remettre en cause « la zone
tranquille ». Regroupant des oeuvres de 4 artistes façonnant le papier, à bords perdus vient nous
questionner sur ce que sont les couleurs primaires et les valeurs premières, sur ce présent que
nous a légué le passé et sur ce que l’avenir nous autorise.
Pierre Fruchard, commissaire de l’exposition.
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Alain Pillard
Réenchanter le monde
07 avril > 21 mai 2016
Encore une rencontre. Un coup de coeur de la galerie. Et une envie. Celle de présenter, d’exposer pour la
première fois le travail d’Alain Pillard. Artiste invité. Travail sur le présent, les petites choses simples du
quotidien, d’aujourd’hui. Et une réflexion, un retour sur la mémoire, des carnets de voyage.
Alain pillard est un peintre, un photographe, un philosophe, un poète, un designer du quotidien. Il exploite
tous les domaines d’expression : photographie, aquarelle sculpture avec Lucie Richard, céramique avec
Sabine Orlandini , impression sur bâche ou sur lino, sponsorisé par ATC.
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Chantal Fontvieille
Entre arbre et cible
04 février > 31 mars 2016
Après Liage en 2007, première exposition personnelle à la Galerie Françoise Besson, Mise en Cible
en 2012, Chantal Fontvieille propose une nouvelle déclinaison, Entre arbre et cible du 4 février au
29 mars 2016. Cette exposition résonne avec l’installation que l’artiste proposera { Art Paris-Art Fair
au Grand Palais du 31 mars au 3 avril 2016.
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Guillaume Robert
Vérifier l’Arcadie
12 décembre 2015 > 30 janvier 2016
Après This isn’t a poem, première exposition personnelle à la Galerie Françoise Besson en 2010,
Guillaume Robert nous propose de Vérifier l’Arcadie du 12 décembre 2015 au 30 janvier 2016,
exposition en résonance à la biennale d’art contemporain de Lyon.
Nous cheminerons entre sculpture, installation, photo et vidéo.
Les recherches artistiques de Guillaume Robert composent des micro-mondes, inventent des territoires à
la croisée des champs (littérature, science, géopolitique, histoire de l’art…). Il en résulte des expériences
réflexives, poétiques et parfois purement sensitives.
2015
> A l’Etage
Stéphane Charpentier
Eclairages
15 octobre > 30 décembre 2015
Pour sa première exposition au premier étage de la galerie Françoise Besson, Stéphane Charpentier présente Éclairages, une sélection de photographies argentiques en noir et blanc, associées à d’autres plus anciennes, que le photographe a captées et accumulées ces dernières années dans toute l’Europe et particulièrement en Grèce, où il voyage régulièrement.
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Christine Crozat
Amanohashidate
15 octobre > 08 décembre 2015
Amanohashidate est l’énigmatique titre de la prochaine exposition qui se tiendra à la galerie Françoise Besson du 15 octobre au 8 décembre 2015.
Christine Crozat, l’artiste, nous a déjà dévoilé une facette de son œuvre en 2014 dans « identité de genre ».
Pour sa première exposition personnelle à la galerie, accompagnée de Pascale Triol, commissaire d’exposition, elle nous propose un parcours sensible à travers des dessins et des vidéos réalisées avec Pierre Thomé.
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Marie-Anita Gaube
Nouvelles aires
03 septembre – 08 octobre 2015
Une succession d’heureux hasards a conduit à la rencontre de Françoise Besson et de Marie Anita Gaube. Et très vite, l’évidence, au risque de bousculer la programmation de la galerie, fut de montrer le travail de cette jeune artiste. Françoise Besson, chercheuse de jeunes talents, renoue avec deux de ses principes du début : promouvoir la jeune génération d’artistes sur la scène artistique nationale et internationale, et défendre la peinture française. En résonance avec la biennale d’art contemporain de Lyon.
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Lise Roussel
Panorama
03 septembre > 08 octobre 2015
Biennale de Lyon résonance
Les œuvres présentées à la Galerie Françoise Besson ont été achevées en avril 2015 dans l’atelier du sérigraphe lyonnais Olivier Bral.
Cette suite de 18 pièces uniques sérigraphiées sur panneaux de bois découle naturellement de la pratique de peinture, de collage et de découpage de Lise Roussel. L’énergie en a été décuplée tout en conservant une indéniable picturalité.
Afin d’exploiter au mieux les possibilités qu’offre la sérigraphie (qualité de surface, transparence ou opacité des encres, éclat des couleurs, superpositions, duplication de motifs…) et de la rendre compatible avec les enjeux de la peinture de Lise Roussel, cette technique a ici été utilisée de multiples manières, de la plus traditionnelle à la plus expérimentale.
Ce projet a été réalisé avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication.
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Jean Charasse
Vertical
06 juin > 20 août 2015
Pour clore la saison, avant l’arrivée de l’été, Françoise Besson invite pour la première fois dans une exposition monographique, Jean Charasse à présenter son travail de sculpteur, couvrant les années 2011 à 2015. Vertical, titre de l’exposition s’inscrit parfaitement dans la philosophie de la galeriste en ce qu’elle affirme la verticalité de l’homme, propos de l’exposition anniversaire des 10 ans de la galerie en septembre dernier.
A cette occasion, la galerie publie sous le titre éponyme, le 23 ième Cahier de Crimée.
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Traces, sur les traces des grands demeurants
Gilles Verneret
30 avril > 06 juin 2015
J’aurais vu ce que d’autres yeux ont vu, sur les traces des grands demeurants.
Des hommes sont passés avec leur regard sur les choses, puis ont passé. Leurs demeures ont disparu et ils demeurent. Ils sont morts et vivants dans leurs œuvres. Traces de pierre et de papier que leurs pas ont foulé. Ils ont vu parfois ce que le photographe repère. Quête de repères. Lutte contre la perte. Nostalgie figée et glacée. Revenir sur les traces de la perpétuation. Fascination de l’épaisseur des lieux recréée par l’imaginaire. On ne retrouve rien, pas même des souvenirs. Le pèlerinage est un leurre qui pousse à l’agir, mais égare dans la fuite si l’on n’y prend garde. Mais la sensibilité se plait à cette dérive. Le temps perdu, qui n’est pas une abstraction retenue par des mots, se mire dans une image que l’on se plait à saisir. Prélèvement dans le présent, de bouts de passé qui n’en sont plus.
Réanimation de la mémoire qui bat au rythme du cœur. Comme un chasseur d’œil qui scrute l’imaginaire et en rapporte des inserts. Et le présent capté dans l’instant incisif recouvre les restes de mémoire, et le passé ré-exhumé arbitrairement fait le lien avec l’aujourd’hui.
Volonté autobiographique d’hommage aux grands demeurants, ceux qui ont marqué la psyché du témoin voyageur. Espérance de rejoindre par l’imagerie mentale, celle de l’autre, spectateur innocent, qui croise impromptument ces traces revisitées. Le présent inscrirait sans cesse ses tentacules dans la glaise de l’histoire, par peur de disparaître infiniment et la période d’après guerre, survolée jusqu’aux abords du siècle nouveau, revivrait – ou plutôt réaviverait – ce qui ne veut pas mourir : l’argentique désespéré qui surplombe les morts et les retient dans des carrés de lumière morte. L’on comprend alors que les demeurants demeurent plus que jamais dans le vécu d’ici et d’ailleurs, prêts à bondir de leur écriture lumineuse, plus forte que la trivialité quotidienne. Le réel courbe les genoux devant la dimension du rêve. Ils s’interpénètrent et s’enrichissent mutuellement, effaçant le monde muet, donnant la densité au silence et créant l’illusion de la vie, mais n’est-elle pas ainsi ?
Après les guerres, les grandes littératures creusent leurs sillons luxuriants et le monde des hommes habite et force la pérennité des âmes. On s’évade du leurre, l’on flotte dans un espace intérieur où s’inscrivent les traces de la civilisation. De Tibériade, où Jésus marchait sur les eaux amniotiques et jetait les germes de la chrétienté à son corps martyr et défendant, à l’antisémitisme décrié par Nietzsche et glorifié par le Reich, anticipé par Kafka dans ces mécaniques qui broient les corps dans l’abomination, pendant qu’Hermann Hesse chante le romantisme des origines et des vierges paléolithiques, à l’endroit où l’on brûle la pensée de Freud en places publiques, jusqu’au Beatles de la délivrance qui chantent des écrivains improbables, et Pessoa à l’indélébile et immobile voyage, qui croise celui tenace de Joyce à la langue acérée… les traces des demeurants nous ouvrent le chemin de notre réalité actuelle.
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Traces, la route du Paradis
Dolorès Marat
30 avril > 06 juin 2015
Pour célébrer le retour de la lumière, à la fin de ce mois d’avril 2015, Françoise Besson convie deux
personnalités de la photographie : Dolorès Marat et Gilles Verneret, qu’elle réunit sous le thème des
TRACES, avec en sous-titre « la Route du paradis » pour Dolorès Marat, et « sur les Traces des grands
Demeurants » pour Gilles Verneret (…) Deux rencontres fortes donc, dans le droit fil de la Galerie appliqué à la photographie : l’importance de la main, avec le tirage Fresson, de la portée poétique et du parti pris, de la représentation mythique et du signe quotidien.
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Jacques Migayrou
Emois
26 février > 19 avril 2015
Les oeuvres de Jacques Migayrou qui ont été sélectionnées pour cette nouvelle exposition en la galerie Françoise Besson de Lyon sont un corpus représentatif de l’oeuvre récente de l’artiste, aux sujets aussi divers que des portraits, des natures mortes, des paysages, et des créations beaucoup plus difficiles à caractériser qui font appel à l’imagination créatrice, au symbolisme, à l’émotion, à la réflexion et à la perception intimes qu’échangent l’artiste et le public.
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Faire de sa vie une oeuvre d’art
Massimo Guerrera, Anthony Haden-Guest, Céline B. Laterreur, Thierry Marceau, François Morelli, Adrian Norvid
10 janvier > 14 février 2015
Dans le cadre du projet d’échange « recherche de visibilité et d’échange de la galerie Françoise Besson au Canada » avec la galerie Joyce Yahouda, la galerie ouvre aujourd’hui son deuxième volet .
Après avoir reçu Nathalie Caron et Charles Guilbert en 2005 à la galerie, pour une exposition intitulée «Fil », c’est au tour d’un collectif de 6 artistes représentés par la galerie Joyce Yahouda de Montréal.
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Awena Cozannet
Corps entre ciel
28 novembre > 07 janvier 2015
Françoise Besson est heureuse d’accueillir Awena Cozannet pour sa troisième exposition personnelle à la galerie intitulée « Corps entre ciel », du 29 novembre au 07 janvier 2015. L’exposition des dessins se prolongera dans le lieu d’accueil « Lyonguesthouse », dans un cabinet de dessins situé au dessus de la galerie, jusqu’au 1° mars 2015. A l’occasion du vernissage, le 28 novembre à partir de 18h, l’artiste signera son dernier ouvrage « tenir le fil » coédité par la galerie et des éditions Janninck.
2014
> A la galerie
Anthony Vérot
Conversation piece
17 octobre > 22 novembre 2014
En peignant comme il le fait l’indignité de notre condition charnelle, Anthony Vérot nous donne une autre précieuse
illusion, celle d’un répit — il met en cage les pires carnassiers, nos semblables, les siens, et nous les livre, tous pétris de
rage contenue, inoffensifs à la surfaceplane du tableau.
Didier Semin, extrait de « La magnificence inclémente du portraitiste misanthrope » (in Cahier de Crimée #21, édition Galerie Françoise Besson)
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Devenir Arbre, debout depuis 10 ans
collective de tous les artistes de la galerie
06 septembre > 11 octobre 2014
Debout, la galerie Françoise Besson l’est depuis 10 ans. Pour marquer cet anniversaire, elle a rassemblé autour d’elle ses artistes, en hommage à leurs oeuvres et en déclaration d’amour aux artistes, mais aussi à la vie : l’art envahira la rue à l’occasion du vernissage de l’exposition « Devenir Arbre », pour une soirée de performances, de concert et de lectures. L’exposition commence par un petit cabinet de dessin au crayon, doublement produit de l’arbre, par le carbone de la mine et par la gaine de bois : chaque artiste que la galerie représente a préparé un dessin pour l’exposition, retour au trait de main, incarnation, souvent en annonce de l’oeuvre qu’il y expose. L’exposition se poursuit par une sélection de 17 oeuvres, media, tableaux, sculptures, photographies et installations des artistes de la Galerie.
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Frédéric Khodja
Le ciel est si peint que je ne le regarde pas
07 juin > 30 juillet 2014
Une exposition d’images. De dessins bleus. De dessins qui font parler les lieux du bleu. De dessins qui parlent de cristallisations, de parois, d’atlas, d’espaces, de fictions, de géométries. Une constellation de dessins (…) L’idée, pour accompagner l’exposition d’images, d’un journal bleu qui recueillerait des présences. Des documents importants à mes yeux, qui m’aident à construire mes dessins ; des reproductions de dessins présents dans l’exposition et un texte. Éditer un Labyrinthe bleu où les images et le texte soient dans un espace entre les mains.
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Identité de genre
Dominique de Beir, Elise Bergamini, Christine Crozat, Chloé Jullien
29 avril > 31 mai 2014
Le titre est là, précis mais pas trop… Le programme est affiché. Brouiller les clichés. Masculin ? Féminin ?. Qui sommes-nous, ou plutôt, quelle est la genèse et où se situe l’Avenir. Actrice ou Spectatrice de notre destinée.
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Clément Montolio
Mystères évidents
10 mars > 23 avril 2014
« Mystères évidents » est le titre de la 5ème exposition personnelle de Clément Montolio à la galerie Françoise Besson. Pour la première fois, peintures et volumes cohabiteront dans l’espace.
« Le mystère est ici intellectualisé dans la peinture, il fait corps avec l’oeuvre, il est dans l’oeuvre, il est l’oeuvre. Clément Montolio se libère de l’esthétique afin que le Mystère se laisse apercevoir, mystère au premier sens emprunté au latin mysterium, c’est à dire qui exprime le caractère profond, la vertu inhérente d’une chose. »
Extrait Cahier de Crimée #18
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Gérard Pélisson
Utopies volatiles
17 janvier > 22 février 2014
Après des études d’optique et d’électronique au lycée La Martinière de Lyon, et quelques applications de cette formation dans des entreprises Lyonnaises, Gérard Pélisson collabore à différents longs métrages à France 3 Rhône Alpes. Par amour du cinéma il devient photographe de plateau pour des longs métrages aux réalisateurs prestigieux comme Bertrand Tavernier, Robert Enrico, Nadine Trintignant…. Et immortalise sur sa pellicule de grands comédiens tels qu’Alain Delon, Sophie Marceau, Marlène Jobert, Christine Boisson….
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Laurent Mulot
Diptyque à l’horizon
21 novembre 2013 > 10 janvier 2014
Laurent Mulot propose une oeuvre inédite à partir d’une expérience de longue durée intitulée Middle of Nowhere. Middle of Nowhere, oeuvre qui s’apparente à une matrice qui englobe toute la production de l’artiste, est un récit qui commence avec les centres d’art fantômes que l’artiste a créé en différents endroits du monde – un dans chaque continent : Australie, Chine, France, Amérique latine, Maroc, Antarctique et bientôt, le projet est en cours, dans l’ISS (International Space Station). Ce nouveau récit du monde, car il s’agit bien de cela dans l’oeuvre de Mulot, se poursuit avec des créations liées à la recherche scientifique fondamentale. Ainsi en est-il d’Augenblick 1, dont cette exposition montre le corpus photographique, qu’il réalise à l’occasion de son passage au CERN.
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2013
A la galerie
Le laboratoire des prophéties # 2
David Coste
Octobre – novembre 2013
En résonance avec la biennale d’art contemporain, David Coste nous propose le 2ème volet du Laboratoire des prophéties, à l’Etage de la galerie
Entre fiction et réalité…
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Story and Spirit
Xue Feng Chen, Chantal Fontvieille, Patrice Giorda, Jane le Besque, Clément Montolio, Lise Roussel
29 octobre > 19 novembre 2013
L’exposition est le fruit d’une résonance entre un choix d’objets d’art premier, d’art asiatique, islamique et contemporain autour de la spiritualité et des questions qu’elle soulève :
l’art nous aide-t-il à vivre ? Est-il à l’origine d’un nouvel absolu ?
En collaboration avec Erik Nakache et Grégory Chesnes
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Daniel Clarke
Matter
09 septembre > 26 octobre 2013
Matter, l’actuelle sélection d’œuvres de Daniel Clarke à la Galerie Françoise Besson à Lyon du 9
septembre au 26 octobre 2013, nous offre de prime abord l’émotion de la beauté des formes et
des couleurs, du tracé et de l’inclus, de la description et de la suggestion, celle de la vie en ce
qu’elle est suffisamment imprécise pour préserver une marge d’espérance et de fantasme :
Daniel Clarke se distancie des images qui lui ont longtemps parlé, celles de ses jeunes années au
bout de Long Island, là où se rejoignent infiniment sables, airs, cieux et océan, mais qui en font
un artiste significatif en ce qu’elles sont le plus souvent universelles.
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Xuefeng Chen
L’amoureuse
20 juin > 18 août 2013
Françoise Besson a le plaisir et le privilège d’accueillir l’artiste plasticienne Xuefeng Chen pour sa première
exposition monographique, l’amoureuse, du 20 juin au 15 aout 2013.
Xue Feng Chen s’est imprégnée toute son enfance, des coutumes et des rituels de son village natal du Yunnan
(sud est de la Chine) connu pour ses somptueuses broderies traditionnelles.
L’Amoureuse, figure dominante de la mère généreuse et génitrice, l’homme et ses pratiques, les composants du
cycle de la vie, l’image et le symbolique : tel est l’univers de Xue Feng Chen qui nous semble familier par sa
thématique, mais aussi singulier et étrange dans ses réalisations…
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élèves de l’école maternelle Raoul Dufy
4 juin > 30 juin 2013
EnfanceArtEtLangages coordonne un programme de résidences d’artistes en écoles maternelles pariant sur l’intérêt de l’art et de la création comme langage sensible et fondateur pour le petit enfant. Ce projet original est né à Lyon en 2002 d’un partenariat entre la Ville et des ministères de l’Education Nationale et de la Culture.
Le principe est simple : un artiste, quelle que soit sa discipline, s’installe au cœur de l’école maternelle, pour une implantation délibérément longue : 9 ou 12 heures hebdomadaires durant vingt semaines de l’année scolaire et cela pendant trois années. S’engage alors dans cette durée, un travail d’équipe entre les enseignants, le personnel de l’école, les parents, les équipements culturels de la Ville.
Cette année, c’est l’artiste Guillaume Lemoine , en résidence à l’école maternelle Raoul Dufy (Lyon 1er) depuis septembre 2012 qui est à l’origine de cette exposition.
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Il est midi à l’heure de maintenant
Collection Philippe Delaunay
13 avril > 02 juin 2013
Françoise Besson est heureuse d’inviter son ami et collectionneur Philippe Delaunay à présenter pour la première fois au public une partie de sa collection personnelle du 19 avril au 2 juin 2013, un parcours atypique dans l’histoire de l’art moderne et contemporain.
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Marie-Agnès Charpin
Trois milles six cents fois par heure
18 janvier > 07 avril 2013
Lorsqu‟en 1992 Marie-Agnès Charpin installe les bases de son programme de peinture, elle sait qu‟elle arrive sur un territoire déjà arpenté par les conceptuels historiques – Roman Opalka, On Kawara, Hanne Darboven… – avec lesquels elle partage une préoccupation pour la question du temps. Achevant à cette époque une longue série de peintures fondées sur la répétition du geste, elle perçoit soudain le temps comme l‟évidence qui ordonne a posteriori sa recherche. Il est la substance qui impressionne et qui déplie cette pratique de la répétition. Les signes dont elle a couvert ses toiles jusqu‟alors n‟ont pas seulement lié une surface à une durée. Ils lui ont fait éprouver la limite de la réitération qui peu à peu fatigue le bras, brouille la vue, épuise le sens.
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Franz Schimpl
Sans domicile fixe
06 décembre 2012 > 15 janvier 2013
Sans domicile Fixe. La Galerie Françoise Besson offre ses murs et cimaises à un ami et collectionneur, Franz Schimpl aujourd’hui artiste.
Sans domicile fixe présente une série d’aquarelles de format identique (28 x 28 cm) débutée dès 2009. Dans une répétition voulue. Tout comme le cadrage pour inviter le regardeur à explorer les nuances, et la subtile diversité.
Sans domicile Fixe nous propose un regard sur le thème de l’errance, de l’aventure peut–être. Une certaine prise de risques en opposition à l’idée bien actuelle de sédentarisation pour se rassurer, faire comme tout le monde. L’artiste explore également en pointillés dans une vision plus sociale, la précarité des êtres, de l’existence.